La fiscalité en Israël est l’ensemble des lois et règles qui encadrent l’imposition des individus et des entreprises dans le pays. Le système fiscal israélien comprend différents types d’impôts, notamment l’impôt sur le revenu, l’impôt sur la fortune, la taxe sur les salaires et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA).
L’impôt sur le revenu en Israël est progressive, ce qui signifie que les taux d’imposition augmentent en fonction des revenus. Le taux d’imposition maximum est de 50% pour les revenus supérieurs à 700 000 shekels (environ 183 000 euros). Les contribuables peuvent également bénéficier de diverses déductions et crédits d’impôt pour réduire leur imposition.
Les taxes sur les salaires en Israël comprennent notamment la taxe nationale (bitouach leumi) , la taxe sur les salaires et la taxe sur les avantages en nature. Ces taxes sont prélevées directement sur les salaires et les avantages des employés, et sont utilisées pour financer les services de santé, de retraite et de chômage.
En outre, les transactions en Israël sont soumises à la TVA, qui s’élève à 17%. La TVA s’applique aux achats de biens et de services, et est collectée par les vendeurs lors de la vente.
Le système fiscal en Israël vise à recueillir des fonds pour financer les dépenses publiques tout en incitant les entreprises à investir et à créer des emplois. Cependant, il peut également être source de controverse, notamment en raison de la complexité des lois fiscales et des différences de traitement entre les contribuables.
Les débats sur la fiscalité en Israël ont souvent porté sur la question de l’équité fiscale. Selon certains, il est important que les impôts soient proportionnels aux revenus et à la richesse des contribuables, afin d’éviter que les plus riches ne profitent davantage des services publics que les plus pauvres. D’autres estiment que la fiscalité doit être utilisée pour redistribuer la richesse et lutter contre les inégalités.
Laisser un commentaire
Participez-vous à la discussion?N'hésitez pas à contribuer!